Goscinny et le cinéma, Astérix, Lucky Luke eCie
Exposition du 4 octobre 2017 au 4 mars 2018
à la cinémathèque française
51 Rue de Bercy, 75012 Paris
à la cinémathèque française
51 Rue de Bercy, 75012 Paris
À l’occasion du quarantième anniversaire de la disparition de René Goscinny, la Cinémathèque française et La Cité internationale de la bande dessinée et de l’image d’Angoulême, en partenariat avec l’Institut René Goscinny, ont souhaité lui rendre hommage en concevant une grande exposition consacrée aux influences du cinéma sur son travail, ainsi qu’à sa propre œuvre cinématographique. Cette exposition explorera les rapports constants et ô combien féconds entre un scénariste de génie et l’objet de sa rêverie préférée : le cinéma. Elle montrera aussi comment le cinéma et ses genres les plus populaires (burlesque, péplum, western…) ont été parodiés et magnifiés par un créateur dont l’originalité se nourrissait de son immense culture cinématographique40 ans après la mort de leur démiurge, les personnages de Goscinny continuent de nourrir la culture populaire internationale. Astérix et Obélix, Lucky Luke ou Le Petit Nicolas sont devenus des personnages de cinéma à part entière. Et Goscinny mérite plus que jamais le surnom affectueux que lui avait donné son ami Gotlib : « Walt Goscinny ».
du 27 septembre 2017 au 4 mars 2018
Musée d’art et d’histoire du judaïsme
Hôtel de Saint-Aignan
71, rue du Temple
75003 Paris
Musée d’art et d’histoire du judaïsme
Hôtel de Saint-Aignan
71, rue du Temple
75003 Paris
À l’occasion de la commémoration des quarante ans de la disparition de René Goscinny, le mahJ, en partenariat avec l’Institut René Goscinny, présente la première rétrospective consacrée au co-créateur d’Astérix et du Petit Nicolas. L’exposition rassemble plus de 200 œuvres, dont des planches et scénarios originaux, et de nombreux documents inédits issus des archives Goscinny.
Conjuguant approches chronologique et thématique, elle retrace le parcours de ce fils d’émigrés juifs originaires de Pologne et d’Ukraine, né à Paris en 1926.
Cinq cents millions de livres et d’albums vendus dans le monde, des œuvres traduites en cent cinquante langues, une centaine d’adaptations cinématographiques… Malgré les chiffres impressionnants du succès de Goscinny, l’envergure de l’homme et l’ampleur de son œuvre sont encore relativement méconnues. L’exposition met ainsi en lumière la créativité géniale de celui qui a offert à la culture française l’une de ses plus belles révolutions culturelles, qui fit passer la bande dessinée du statut de « publications destinées à la jeunesse » au rang de « neuvième art ».Parodies, calembours et traits d’union métaphysiques forment le versant le plus célèbre du style d’un écrivain pour lequel l’histoire, la langue française et l’enfance ont été des sources d’inspiration et des moteurs de création constants. Mais au-delà du rire fédérateur, l’exposition montre à quel point la culture goscinnienne, héritière du judaïsme d’Europe orientale, s’est enrichie au croisement des exils argentin et nord-américain, sans jamais cesser d’être nourrie par le pur classicisme de la tradition française.
Cinq cents millions de livres et d’albums vendus dans le monde, des œuvres traduites en cent cinquante langues, une centaine d’adaptations cinématographiques… Malgré les chiffres impressionnants du succès de Goscinny, l’envergure de l’homme et l’ampleur de son œuvre sont encore relativement méconnues. L’exposition met ainsi en lumière la créativité géniale de celui qui a offert à la culture française l’une de ses plus belles révolutions culturelles, qui fit passer la bande dessinée du statut de « publications destinées à la jeunesse » au rang de « neuvième art ».Parodies, calembours et traits d’union métaphysiques forment le versant le plus célèbre du style d’un écrivain pour lequel l’histoire, la langue française et l’enfance ont été des sources d’inspiration et des moteurs de création constants. Mais au-delà du rire fédérateur, l’exposition montre à quel point la culture goscinnienne, héritière du judaïsme d’Europe orientale, s’est enrichie au croisement des exils argentin et nord-américain, sans jamais cesser d’être nourrie par le pur classicisme de la tradition française.